Le dernier article du blog "Lettres à Bébert",
avant sa destruction, une réflexion sur Dworkin
D'après les féministes dites "radicales", l'amour et la conjugalité sont des inventions du système patriarcal pour exploiter les femmes et ainsi bénéficier gratuitement de leur force de travail et de reproduction.. On n'est pas très loin de Marx repris version femmes et à l'américaine, pragmatiste. [Mais il va de soi que parfois il peut y avoir retournement et que des femmes -notamment de "droite"- tirent leur épingle du jeu en renvoyant l'exploitation à l'envoyeur, pas de la même manière que les hommes puisqu'elles s'inscrivent à contre-courant du système : en apparence soumises, rejetant le féminisme, faire-valoirs d'une idéologie qui opprime les "autres" dont elles font semblant de ne pas voir qu'elles y sont elles aussi inscrites -et qu'elles mêmes souvent, in fine, le payeront cher- elles obtiennent ainsi les suffrages masculins et des avantages non négligeables de prestige, financiers ou d'estime voire d'amour. (A moduler selon les classes sociales, cela peut aller d'une villa luxueuse à Deauville à un trois pièces bien situé dans le 15ième ou un HLM dans le XXième.) Le prix à payer est la dé solidarisation de leurs congenres, une certaine distance méprisante de leur part et des relations difficiles avec les "dissidentes".]
Elles le payeront cher parfois car leur levier de base est le sexe, la séduction masculine, une quasi prostitution soft parfaitement admise si bien que la concurrence est ride (euh, rude) et l'angoisse d'être supplantées comme elles même en ont supplanté d'autres, de perdre leur allure, leur jeunesse donc leur pouvoir les taraude en un perpétuel combat contre les rivales et contre l'âge dont elles ne sortiront jamais vainqueures, s'infligeant des tortures diverses pour le plus grand bonheur des professionnels hommes (et de la croissance) qui en profitent ; il arrive qu'elles en meurent. Chirurgie esthétique, implants, injections de collagène et autre, ou plus soft, maquillages et teintures -toxiques, bronzage (idem), brushings, vêtements incommodes voire dangereux (talons hauts, serrage de la taille, gaines, soutiens gorges etc..) régimes draconiens, saunas à outrance -pour maigrir-, et ingestion de certains médicaments coupe-faim (par exemple le Médiator) la liste est infinie. Diane de Poitiers, sculpturale, sportive, émérite cavalière dont l'éternelle jeunesse faisait l'admiration de la Cour est morte d'ingestion de poussière d'or censée préserver l'éclat de la peau qu'on a retrouvée en quantité dans ses os ; d'autres, du Médiator -pour maigrir-, d'autres encore d'implants PIP qui ont lâché dans leur corps des quantités d'huile (de moteur), et certaines souffrent de maladies causées ou largement favorisées par des opérations esthétiques multiples, d'où infections succédantes traitées par tel antibiotique dangereux etc.. Sans compter les cas moins graves, tel celui de celles dont la colonne vertébrale est littéralement détruite par le port permanent de très hauts talons -qui ensuite, malgré des interventions -qui ne réussissent pas à tout coup- ne peuvent plus marcher du tout-..
L'amour, une invention du système patriarcal? Peut-être. Par l'amour, on peut tout avoir gratuitement (mais cela joue dans les deux sens) : qui songerait, qui oserait exiger quoi que ce soit pour une tache si naturelle et si noble (fût-elle épuisante voire dangereuse) que faire des enfants, prendre soin de sa famille, de son mari, sans relâche et parfois tout en travaillant à l'extérieur? Le fait est que personne n'y songe, même et surtout pas elles. Elles sont aimées, aiment, l'amour toujours.. et heureuse. Un choix.
La preuve : lorsqu'il y a séparation, certains hommes, peut-être la majorité ? en toute sincérité, ne comprennent pas pourquoi tout "ceci" requerrait une quelconque indemnité compensatoire. Quelle soudaine et sordide réaction pensent-ils, qui montre bien ce qu'elles valent réellement.. (et c'est en partie vrai) : ne l'ont-elles pas librement choisie, cette situation? Est-ce de leur faute si elles n'ont pas réussi une carrière comme eux alors qu'ils leur ont "tout" donné? Ne les ont-elles pas exploités, eux, au contraire ? Ne serait-ce pas eux qui devraient réclamer pour s'être ainsi épuisés à la tache quand elles s'amusaient avec les enfants -ce qu'ils auraient bien aimer faire-? N'est ce pas eux qui ont été durement exploités ? Et pour cela il faudrait en plus qu'elles continuent même après la rupture? (Ces réactions indignées sont encore plus violentes si c'est elles qui l'ont initiée.)
Ce n'est pas tout à fait faux : elles ont en effet bénéficié parfois de l'argent gagné par l'homme et leur tache en a certainement été facilitée : assurées que la famille n'en pâtirait pas, elles ont aussi négligé leur carrière.. pour elles-mêmes aussi, s'octroyant parfois quelques moisirs (euh, loisir) mais également pour en faire bénéficier leur entourage. Pire, il se peut même qu'elles aient résisté longtemps malgré les rebuffades, les infidélités (exprimant clairement le désir de l'homme de rompre) et ce en grande partie pour leur sécurité financière, leur confort... comme cette femme de soixante ans -un peu abîmée physiquement- maltraitée, trompée qui, lorsqu'on lui reprochait de rester tout de même avec un tel homme rétorquait franchement : "C'est que j'ai une si belle maison, avec une superbe piscine, un jardin d'hiver magnifique et une terrasse avec vue sur [...] et cela je ne veux pas le perdre.. je ne pourrais jamais vivre ailleurs à présent et puis il n'est presque jamais là, il travaille tout le temps alors, tranquille.." Exploiteuse? Exploitée? Les deux.
Le système profite en effet aux hommes en premier mais également les corrode : usés parfois, ils en veulent à leurs femmes de l'être moins, robustesse naturelle ou vie moins stressante? Peut-être les deux. Il ne faut donc pas simplifier. Les femmes sont certes en général victimes mais les variations infinies des configurations font que parfois on ne s'y retrouve plus tout à fait, y compris lorsqu'il s'agit de soi (!) Lorsqu'un tandem se délite, (hard) les questions fusent aussitôt : quelle partie a été la plus porteuse ? Difficile de le savoir après coup. L'ai-je exploité ? Oui en un sens. Souvenir des intrigues épuisantes et infinies des cadres sup aux [..] et des jeunes loups qui convoitaient son poste... ce qui le laissait à bout de forces le soir? Mais ne l'ai-je pas soutenu sans relâche ou presque ? ne disait-il pas lui-même que sans moi il n'aurait jamais résisté? M'a-t-il exploitée? Un peu au départ, seule dans ce taudis que je m'ingéniais en vain à rendre agréable quand lui profitait d'un luxueux bureau et rentrait le plus tard possible "pour se détendre un peu" c'est vital? Mais ensuite, grâce à Annie, ce fut moins flagrant : je bénéficiais d'un bel appartement, de quelqu'un/e qui s'occupait des enfants et quand je rentrais fatiguée, de son soutien indéfectible. Ai-je négligé ma carrière pour la famille? Ce n'est pas sûr. Pas toujours. Je manque sans doute d'ambition, je ne sais pas me faire valoir (suite à mon passé). Lorsque, après la publication de mon premier livre, j'ai été pressentie pour Rathcliffe, (une chance que j'ai refusée) oui, c'est certain. Mais était-ce pour la famille? Pour lui? Peut-être mais pas seulement : mettre l'océan entre Marguerite (78 ans) et moi m'était impossible. Donc...
Il est vrai que j'ai assumé 80% des taches ménagères mais c'était normal compte tenu de son boulot qui ne lui laissait aucun répit... (et sur ce coup je suis plus dégourdie que lui.) Mal assumées peut-être mais je ne pouvais faire mieux compte tenu que je bossais aussi. Il ne s'en est jamais plaint... avant notre séparation. [Cela fait penser à un client qui, lorsqu'on lui présente l'addition qu'il n'avait pas prévu de payer -et le fait est qu'en principe, contractuellement, c'était gratuit- se montre soudain après coup mécontent du repas que cependant il a mangé, une douloureuse surprise en effet... mais pour les deux : pour elle de devoir réclamer, pour lui de se voir requérir.] Lorsque l'amour disparaît ou est en stand bye (mais a-t-il vraiment existé? n'est ce pas une invention du système?) en effet les services gratuits soudain changent de nature et deviennent payants, d'où l'indignation de ceux qui ne comprennent ni n'acceptent cette modification sans préavis du tacite contrat qui les liait -par l'amour- ... Perversité, vénalité des femmes crient-ils ? Parfois peut-être mais la plupart du temps c'est pour elles simplement une nécessité (si elles ont tout sacrifié à la famille et se retrouvent totalement démunies) ou un juste droit sur la base que si elles avaient prévu le désamour et la rupture, elles auraient autrement investi leur carrière et ne seraient pas dans le besoin. Les deux peuvent se dire, les configurations sont innombrables et vont du zéro à l'infini, mais reste en effet que ce qu'on appelle l'amour est bien pratique dans les deux cas pour exploiter l'autre.. mais qu'étant donné les statistiques des revenus respectifs dans un couple, c'est la femme qui la plupart du temps en fait les frais ..
Aimer, surtout plus fort que soi, (c'est à dire l'homme dans une société qui le favorise) c'est se livrer, s'abaisser, prendre des risques, celui d'être rejeté/e, humilié/e et de facto de devenir MÉPRISABLE même à ses propres yeux. Cela n'arrivera plus. Car un même un texte littéraire, selon la manière dont il est reçu, sera sublime ou abject, glorieux ou pitoyable. Ce fut le second cas. Tant pis, tant mieux? Je regrette d'avoir écrit ces poèmes à présent détruits*. Baste, la montagne est belle. Méritait-il et méritais-je cela? Tout comptes faits, non. Dans les deux sens. Une belle histoire qui finit mal, forcément.. [le fils d'un homme d'affaires juif libanais (Montaigu) et celle d'une hussarde noire de la République de surcroît cévenole et communisante (Capulet), cela pouvait que mal finir]**.
* Pas totalement puisque gmail les conserve.
** Car trois ou quatre jours après la lettre-éteignoir, le funeste stroboscope en stand bye s'est hélas remis en marche. Dommage.
Elles le payeront cher parfois car leur levier de base est le sexe, la séduction masculine, une quasi prostitution soft parfaitement admise si bien que la concurrence est ride (euh, rude) et l'angoisse d'être supplantées comme elles même en ont supplanté d'autres, de perdre leur allure, leur jeunesse donc leur pouvoir les taraude en un perpétuel combat contre les rivales et contre l'âge dont elles ne sortiront jamais vainqueures, s'infligeant des tortures diverses pour le plus grand bonheur des professionnels hommes (et de la croissance) qui en profitent ; il arrive qu'elles en meurent. Chirurgie esthétique, implants, injections de collagène et autre, ou plus soft, maquillages et teintures -toxiques, bronzage (idem), brushings, vêtements incommodes voire dangereux (talons hauts, serrage de la taille, gaines, soutiens gorges etc..) régimes draconiens, saunas à outrance -pour maigrir-, et ingestion de certains médicaments coupe-faim (par exemple le Médiator) la liste est infinie. Diane de Poitiers, sculpturale, sportive, émérite cavalière dont l'éternelle jeunesse faisait l'admiration de la Cour est morte d'ingestion de poussière d'or censée préserver l'éclat de la peau qu'on a retrouvée en quantité dans ses os ; d'autres, du Médiator -pour maigrir-, d'autres encore d'implants PIP qui ont lâché dans leur corps des quantités d'huile (de moteur), et certaines souffrent de maladies causées ou largement favorisées par des opérations esthétiques multiples, d'où infections succédantes traitées par tel antibiotique dangereux etc.. Sans compter les cas moins graves, tel celui de celles dont la colonne vertébrale est littéralement détruite par le port permanent de très hauts talons -qui ensuite, malgré des interventions -qui ne réussissent pas à tout coup- ne peuvent plus marcher du tout-..
L'amour, une invention du système patriarcal? Peut-être. Par l'amour, on peut tout avoir gratuitement (mais cela joue dans les deux sens) : qui songerait, qui oserait exiger quoi que ce soit pour une tache si naturelle et si noble (fût-elle épuisante voire dangereuse) que faire des enfants, prendre soin de sa famille, de son mari, sans relâche et parfois tout en travaillant à l'extérieur? Le fait est que personne n'y songe, même et surtout pas elles. Elles sont aimées, aiment, l'amour toujours.. et heureuse. Un choix.
La preuve : lorsqu'il y a séparation, certains hommes, peut-être la majorité ? en toute sincérité, ne comprennent pas pourquoi tout "ceci" requerrait une quelconque indemnité compensatoire. Quelle soudaine et sordide réaction pensent-ils, qui montre bien ce qu'elles valent réellement.. (et c'est en partie vrai) : ne l'ont-elles pas librement choisie, cette situation? Est-ce de leur faute si elles n'ont pas réussi une carrière comme eux alors qu'ils leur ont "tout" donné? Ne les ont-elles pas exploités, eux, au contraire ? Ne serait-ce pas eux qui devraient réclamer pour s'être ainsi épuisés à la tache quand elles s'amusaient avec les enfants -ce qu'ils auraient bien aimer faire-? N'est ce pas eux qui ont été durement exploités ? Et pour cela il faudrait en plus qu'elles continuent même après la rupture? (Ces réactions indignées sont encore plus violentes si c'est elles qui l'ont initiée.)
Ce n'est pas tout à fait faux : elles ont en effet bénéficié parfois de l'argent gagné par l'homme et leur tache en a certainement été facilitée : assurées que la famille n'en pâtirait pas, elles ont aussi négligé leur carrière.. pour elles-mêmes aussi, s'octroyant parfois quelques moisirs (euh, loisir) mais également pour en faire bénéficier leur entourage. Pire, il se peut même qu'elles aient résisté longtemps malgré les rebuffades, les infidélités (exprimant clairement le désir de l'homme de rompre) et ce en grande partie pour leur sécurité financière, leur confort... comme cette femme de soixante ans -un peu abîmée physiquement- maltraitée, trompée qui, lorsqu'on lui reprochait de rester tout de même avec un tel homme rétorquait franchement : "C'est que j'ai une si belle maison, avec une superbe piscine, un jardin d'hiver magnifique et une terrasse avec vue sur [...] et cela je ne veux pas le perdre.. je ne pourrais jamais vivre ailleurs à présent et puis il n'est presque jamais là, il travaille tout le temps alors, tranquille.." Exploiteuse? Exploitée? Les deux.
Le système profite en effet aux hommes en premier mais également les corrode : usés parfois, ils en veulent à leurs femmes de l'être moins, robustesse naturelle ou vie moins stressante? Peut-être les deux. Il ne faut donc pas simplifier. Les femmes sont certes en général victimes mais les variations infinies des configurations font que parfois on ne s'y retrouve plus tout à fait, y compris lorsqu'il s'agit de soi (!) Lorsqu'un tandem se délite, (hard) les questions fusent aussitôt : quelle partie a été la plus porteuse ? Difficile de le savoir après coup. L'ai-je exploité ? Oui en un sens. Souvenir des intrigues épuisantes et infinies des cadres sup aux [..] et des jeunes loups qui convoitaient son poste... ce qui le laissait à bout de forces le soir? Mais ne l'ai-je pas soutenu sans relâche ou presque ? ne disait-il pas lui-même que sans moi il n'aurait jamais résisté? M'a-t-il exploitée? Un peu au départ, seule dans ce taudis que je m'ingéniais en vain à rendre agréable quand lui profitait d'un luxueux bureau et rentrait le plus tard possible "pour se détendre un peu" c'est vital? Mais ensuite, grâce à Annie, ce fut moins flagrant : je bénéficiais d'un bel appartement, de quelqu'un/e qui s'occupait des enfants et quand je rentrais fatiguée, de son soutien indéfectible. Ai-je négligé ma carrière pour la famille? Ce n'est pas sûr. Pas toujours. Je manque sans doute d'ambition, je ne sais pas me faire valoir (suite à mon passé). Lorsque, après la publication de mon premier livre, j'ai été pressentie pour Rathcliffe, (une chance que j'ai refusée) oui, c'est certain. Mais était-ce pour la famille? Pour lui? Peut-être mais pas seulement : mettre l'océan entre Marguerite (78 ans) et moi m'était impossible. Donc...
Il est vrai que j'ai assumé 80% des taches ménagères mais c'était normal compte tenu de son boulot qui ne lui laissait aucun répit... (et sur ce coup je suis plus dégourdie que lui.) Mal assumées peut-être mais je ne pouvais faire mieux compte tenu que je bossais aussi. Il ne s'en est jamais plaint... avant notre séparation. [Cela fait penser à un client qui, lorsqu'on lui présente l'addition qu'il n'avait pas prévu de payer -et le fait est qu'en principe, contractuellement, c'était gratuit- se montre soudain après coup mécontent du repas que cependant il a mangé, une douloureuse surprise en effet... mais pour les deux : pour elle de devoir réclamer, pour lui de se voir requérir.] Lorsque l'amour disparaît ou est en stand bye (mais a-t-il vraiment existé? n'est ce pas une invention du système?) en effet les services gratuits soudain changent de nature et deviennent payants, d'où l'indignation de ceux qui ne comprennent ni n'acceptent cette modification sans préavis du tacite contrat qui les liait -par l'amour- ... Perversité, vénalité des femmes crient-ils ? Parfois peut-être mais la plupart du temps c'est pour elles simplement une nécessité (si elles ont tout sacrifié à la famille et se retrouvent totalement démunies) ou un juste droit sur la base que si elles avaient prévu le désamour et la rupture, elles auraient autrement investi leur carrière et ne seraient pas dans le besoin. Les deux peuvent se dire, les configurations sont innombrables et vont du zéro à l'infini, mais reste en effet que ce qu'on appelle l'amour est bien pratique dans les deux cas pour exploiter l'autre.. mais qu'étant donné les statistiques des revenus respectifs dans un couple, c'est la femme qui la plupart du temps en fait les frais ..
Aimer, surtout plus fort que soi, (c'est à dire l'homme dans une société qui le favorise) c'est se livrer, s'abaisser, prendre des risques, celui d'être rejeté/e, humilié/e et de facto de devenir MÉPRISABLE même à ses propres yeux. Cela n'arrivera plus. Car un même un texte littéraire, selon la manière dont il est reçu, sera sublime ou abject, glorieux ou pitoyable. Ce fut le second cas. Tant pis, tant mieux? Je regrette d'avoir écrit ces poèmes à présent détruits*. Baste, la montagne est belle. Méritait-il et méritais-je cela? Tout comptes faits, non. Dans les deux sens. Une belle histoire qui finit mal, forcément.. [le fils d'un homme d'affaires juif libanais (Montaigu) et celle d'une hussarde noire de la République de surcroît cévenole et communisante (Capulet), cela pouvait que mal finir]**.
* Pas totalement puisque gmail les conserve.
** Car trois ou quatre jours après la lettre-éteignoir, le funeste stroboscope en stand bye s'est hélas remis en marche. Dommage.
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