vendredi 31 juillet 2015

Toi que je ne vois jamais


Toi que je ne vois plus jamais,
A qui je pense parfois,
Tout le temps? non, souvent,
Une histoire.. d'amour peut-être,
Trop grand, qui a viré à la chaleur
Trop vive. Maladie auto immune? qui sait?
Et tu es partie. A jamais, être moi un peu.. 
Pour ne pas tout à fait t'en aller?
N'y pense plus ou tu vas pleurer
Oublie, publie (!) oublie, oublie !
Mais plus tu penses à oublier, 
Forcément plus tu y penses, 
C'est très con..
Toi que je regardais dormir, jouer
Des heures, un film dont jamais ne me lassais
Découvrir, tes mains, tes pieds, 
Parler, articuler parfaitement,
Toi que j'ai conçue, si l'on peut dire
Telle que j'ai voulu... telle que tu es,
Et puis plus rien. 
L'ai-je voulu aussi ? Désire ce qui est?
Idiot. Mais tout de même,
Il faut dormir et oublier..
Dix vingt années perdues.
Te reconnaîtrai-je si je te voyais?
Non. Sur une photo, j'ai demandé :
Qui est cette petite à coté de ...?
C'était toi. Bête n'est-ce pas?
Tu es restée à 13 ans, c'est pour ça.
40 à présent, et moi tant et tant.
Rompre avec sa mère, totalement, 
 Définitivement, est-ce possible?
Oui puisque tu l'as fait.
L'essentiel est que tu sois bien,
Après tout, on n'a pas des enfants pour soi.
Mais peux-tu l'être sans moi, sans jamais me voir?
Sans doute: nul n'est indispensable
Même pas Lydie, ni Marguerite, ni toi, ni moi..
La mort nous l'apprend bien pour d'autres
Il suffit de l'appliquer à soi.
L'odeur de la terre mouillée, 
Le plaisir du jasmin odorant, 
Du chèvre feuille, je l'éprouve encore,
Parfois. Il faut oublier.
Bonne nuit.
(FB est merveilleux, il me dit 
"Actualité" et vire mon texte aussitôt,
Il a raison. Actualité s'il vous plaît),
La vie continue, les drames aussi
Plus importants que le départ d'une petite fille
Loin de sa mère, étrange qui refusait de manger.. 
Et pensait que son regard la transformait.

jeudi 30 juillet 2015

Dossier pédophilie et VIP

http://pagetournee.blogspot.fr/2015/07/recueillement.html Matzeff, un homme très comme il faut.

http://pagetournee.blogspot.fr/2015/07/pedophilie-et-milieu-pedophilogene.html Pédophilie et milieu
Voir aussi : accouchement, des Lilas à Antoine Béclère
 http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/exercice-illegal-de-la-philosophie.html
et "exercice illégal de la philosophie ou l'art de noyer la poissonne par un vocabulaire abscons et spécieux:" http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/exercice-illegal-de-la-philosophie.html
et surtout le fil (la discussion au sujet de la notion de plaisir dans l'allaitement, qui indigne une femme) http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/le-fil-sur-fb-propos-de-lallaitement-et.html
(Note : contrairement à ce qui est dit sur ce fil par une intervenante, je n'ai jamais parlé d'orgasme mais simplement de plaisir dans l'allaitement.) 

Recueillement, Matzeff, un homme très comme il faut

"Dans cette belle église Saint-Thomas-d'Aquin où en 1972 nous priâmes pour le repos de l'âme d'Henry de Montherlant, en 1977 pour celui de Dominique de Roux, c'est autour du cercueil de [....] que le mardi 20 août, lendemain de la Transfiguration selon le calendrier julien, fête de saint Bernard de Clairvaux selon le comput grégorien, nous nous sommes rassemblés.
L'église était pleine. Le barreau de Paris était là dans son entier, toutes générations réunies : des vieilles gloires du Palais aux beautés fatales de la Conférence du stage, de François Gibault à Constance Debré, c'est une entière profession qui désirait témoigner son amitié et son admiration à ce maître d'éloquence, à cet amoureux fou des causes qui donnent du tourment.

Suite ici (un pédophile décomplexé) : http://pagetournee.blogspot.com/2015/07/httppagetournee.html

Dossier
http://pagetournee.blogspot.com/2015/07/dossier-pedophilie-et-vip.html

Un pédophile décomplexé, Gabriel Matzneff

Suite de : http://pagetournee.blogspot.fr/2015/07/defense-de-cohn-bendit.html
Matzeff, un homme très comme il faut:
http://pagetournee.blogspot.com/2015/07/recueillement.html

Défense de Cohn Bendit. Florilège tiré de "Wikipédia


Gabriel Matzneff revendique pour lui-même la qualification de pédéraste, soit un "amant des enfants". Il dénonce par ailleurs le fait que le "charme érotique du jeune garçon" soit nié par la société occidentale moderne "qui rejette le pédéraste dans le non-être, royaume des ombres". Il ajoute plus loin : "les deux êtres les plus sensuels que j'aie connus de ma vie sont un garçon de douze ans et une fille de quinze". Pour Matzneff, "curieusement, l'amour des gosses est dans l'esprit des gens lié à l'idée de violence. Pour eux, un satyre ne peut être qu'un sadique. (...) Un enfant ne peut disposer ni de son cœur, ni de son corps, ni de son amour, ni de ses baisers. Un enfant appartient à ses parents et à ses maîtres. Ce sont eux qui en ont l'usage exclusif. Pourtant, c'est nous que ces nauséabonds personnages accusent de détournement de mineur". Il ajoute que "n'importe quelle personne qui aime les gosses peut témoigner qu'ils draguent ferme ou (ce qui revient au même) (!) excellent dans l'art de se faire draguer. (...) Tout récemment encore (...) je me suis fait aborder rue Gay-Lussac, à Paris, par un mômichon d'une douzaine d'années qui avait peut-être envie que je lui paye le ciné, mais qui avait surtout envie d'autre chose. Il y a des gosses qui sont très sages, c'est exact, mais il y a aussi des gosses qui sont très putes." Commentant un fait divers au cours duquel un quinquagénaire avait, au cours de "ballets roses", abusé de fillettes âgées de onze à quinze ans, Matzneff estime qu' "il n'y a pas un homme normalement constitué qui lise le croustillant récit des amours de Tonton Lucien sans bander et songer qu'il aurait bien aimé être à sa place". Pour lui, au sujet de la prostitution des mineurs, "chacun donne ce qu'il a, l'oiseau son chant, la fleur son parfum, le créateur son œuvre, la cuisinière ses bons petits plats, le sage vieillard sa sagesse, le riche son argent, le bel enfant sa beauté. (Ndlr, son cul veut-il sans doute dire.) En outre, si violence il y a, la violence du billet de banque qu'on glisse dans la poche d'un jean ou d'une culotte (courte) est malgré tout une douce violence. Il ne faut pas charrier. On a vu pire".
Matzneff admet cependant l'existence d'"ogres", d'abuseurs sadiques d'enfants : il se souvient avoir "toujours eu un faible pour les ogres" et avoir suscité la polémique en relativisant, dans les colonnes de Combat, le crime de Lucien Léger, ou l'affaire des meurtres de la lande, achevant cependant son propos en dénonçant la "confusion" entre les criminels et l'ensemble des "pédérastes" qui apportent aux "enfants la joie d'être initiés au plaisir, seule éducation sexuelle qui ne soit pas une foutaise"
Matzneff qualifie en 1994 son livre de "suicide mondain" et reconnaît : "C'est des Moins de seize ans que date ma réputation de débauché, de pervers, de diable." Il déplore par ailleurs le fait que "les impostures de l'ordre moral n'ont jamais été aussi frétillantes et bruyantes. La cage où l'État, la société et la famille enferment les mineurs reste hystériquement verrouillée".
Matzneff revient sur ses goûts sexuels dans plusieurs de ses livres, notamment dans les différents tomes de son journal intime. Déjà scandaleuses à l'époque de leur parution, ces confessions lui vaudront plus tard d'être de plus en plus controversé, surtout à partir des années 1990, durant lesquelles la question de la pédophilie est devenue une préoccupation croissante.
Gabriel Matzneff et le philosophe René Schérer viennent témoigner au procès du pédophile Jacques Dugué, en faveur de ce dernier. En 1982, il est, comme Schérer, impliqué à tort dans l'affaire du Coral, ce qui provoque son renvoi du journal Le Monde, où il tenait une chronique hebdomadaire depuis 1977.
En 1990, Matzneff publie Mes amours décomposés, son journal intime pour les années 1983-1984, dans lequel il évoque sa vie quotidienne, ses amours avec de multiples partenaires dont plusieurs adolescentes âgées de quatorze à seize ans, et son renvoi du Monde à la suite de l'affaire du Coral. Il raconte également son voyage à Manille, aux Philippines, au cours duquel il se livre au tourisme sexuel. Il écrit notamment, au cours de ce passage : "Un joli gamin, pétillant de malice, parlant un bon anglais, écolier bien propre, treize ans. Il n'a pas voulu que je le baise, mais il m'a sucé à merveille et m'a fait jouir" ; "la peau douce, le corps gracile, la bouche industrieuse, le culo divino d'un Gilbert , treize ans, d'un Normin, douze ans, me donnent beaucoup de plaisir, mais un corps de très jeune fille aux formes non totalement épanouies mais déjà esquissées me trouble davantage. N'en déplaise à ceux qui me tiennent pour un amateur de petits garçons qui a parfois des faiblesses pour les filles, c'est le contraire qui est vrai. (...) Ici, à Manille, de l'autre côté du globe, je goûte aux suprêmes joies de la liberté — y compris celle de ne pas faire l'amour, tout en n'ayant qu'un geste à faire pour avoir aussitôt dans mon lit une fille de quatorze ans ou un garçon de douze" À Manille, il fréquente notamment des occidentaux venus à la recherche de contacts sexuels, comme Edward Brongersma, juriste et homme politique néerlandais et défenseur connu de la pédophilie, intéressé par des rencontres avec "les jeunes personnes les plus jeunes". En conclusion de son voyage, Matzneff écrit : "Amoureusement, ce que je vis en Asie est très inférieur à ce que je vis en France, même si les petits garçons de onze ou douze ans que je mets ici dans mon lit sont un piment rare. Oui, un piment, mais seulement un piment : une épice, et non le plat de résistance".
Le 2 mars 1990, peu après la sortie du livre, sur le plateau de l'émission de télévision Apostrophes présentée par Bernard Pivot, un face-à-face tendu oppose Gabriel Matzneff à l'écrivain québécoise Denise Bombardier. Cette dernière, choquée par Mes amours décomposés, compare Matzneff à ces "messieurs qui attirent des enfants avec des bonbons". Gabriel Matzneff se retire alors pour un temps de la vie publique.

Pédophilie, défense de Cohn Bendit

Pédophilie, défense de Cohn Bendit*.

1 D'abord il n'y a pas de rapport entre ce qu'il écrit et ce qu'écrit par exemple Polack, ou Metzev**, proprement abjects, obscènes, abominables etc...
1 Ensuite : au nom d'une libération (pas toujours malavisée) de l'enfant, (créature angélique cul cul tsoin tsoin) c'est à dire en suivant Freud (par ailleurs un hon) on a enfin osé parler de sexualité en ce qui les concerne, et ça, c'était nouveau. Attention, je ne parle pas de pédophilie mais du fait que les bébés sont sexualisés, bandent, éprouvent du plaisir (dont j'ignore, comme tous ! de quelle nature il est.)

Et là, je ne vais pas me faire de potes, tant pis ! Quelle maman n'a pas éprouvé un grand plaisir à caresser son bébé? (Certes aucun rapport avec caresser un mec évidemment.) A le masser, l'étirer doucement? (Voir le best seller de l'époque "Shantala")? Quel bébé n'a pas manifesté de manière évidente (surtout les petits garçons) sa satisfaction voire son extase devant ces manipulations (mon fils, grand brailleur devant l’Éternel, s'arrêtait tout de suite de pleurer, sourire béat, détendu, le bonheur, lâchant parfois un petit pipi voire mieux si nécessité au passage).. Aucun rapport avec la pédophile évidemment, mais il demeure que c'est cela dont parlait Dany et non de la même "chose" que Pollack ou autres salopards tordus. Et que l'assimilation des deux est spécieuse.

Mieux, (je vais encore me faire des potes, tant pis!) : quelle maman, au moment de l'allaitement, n'a pas éprouvé un plaisir mais d'ordre sexuel cette fois, oui, j'ai bien dit sexuel (fort différent du plaisir éprouvé lors des massages et bains du bébé) ? De deux ordres si j'analyse : le premier n'est que le soulagement de voir ses seins se vider et enfin redevenir souples (la montée du lait lorsqu'elle est trop importante, peut être, non pas douloureuse quoique parfois si, mais gênante, on a l'impression de porter des sacs de sable tassés devant nous... et là, on s'allège d'un coup).

Mais le second ordre de plaisir est incontestablement sexuel : il y a "connexion" entre les seins et le sexe, cela se perçoit dès la première tétée qui est douloureuse : au moment où le bébé tire fortement le lait, (incroyable l'énergie de celui-ci pour sucer!) l'utérus se contracte, immédiatement ! et si vous n'êtes pas averties, vous vous dites que "ça" recommence, (merde alors, un second accouchement qui se prépare?) Non, mais le principe est le même : l'utérus reprend sa forme (il diminue jusqu'à devenir ce qu'on appelle une "balle de tennis", perceptible sous la peau si vous n'êtes pas trop corpulente) : c'est vital car les veines du placenta se clampent d'elles même, en principe juste après l'expulsion de celui-ci. Donc l'hémorragie s'arrête (s'il y en a eu une, ce qui n'est pas toujours le cas.) Mais si l'utérus est trop "mou", trop peu tonique, il continue à saigner (même après l'accouchement, des heures voire des jours après) et si la perte de sang est trop abondante (en caillots foncés) cela peut être mortel (cela arrive surtout aux multipares dont l'utérus est trop distendu et ne parvient pas à reprendre sa forme initiale, au point qu'autrefois on leur mettait un sac de sable sur le ventre pour l'y aider. Pas de panique, il y a à présent des médocs -peut-être pas sans danger- qui l'obligent à se contracter, ce qui est douloureux de la même manière, mais plus lent (que l'allaitement). Par parenthèse c'est un des arguments contre la GPA, qui empêche ce processus naturel au détriment de la mère.

Bref, allaiter procure un plaisir d'ordre sexuel et c'est peut-être une des raisons pour laquelle les femmes, gênées, l'interrompent parfois.. ou le dénient. [Un exemple : lorsque j'allaitais mon fils, (j'avais du lait en abondance) un bébé dans mon entourage, du même âge, non allaité, se trouva gravement malade, ne supportant pas le biberon -provisoirement- . Malgré mon souci de l'aider lui et sa mère désespérée je ne pus me résoudre à l'allaiter, quelque chose en moi s'y refusait violemment, une sorte de dégoût irréfragable d'établir cette "relation" avec lui, alors que l'enfant ne me dégoûtait pas du tout en soi. Je m'étais dit que si le lendemain cela n'allait pas mieux, je m'y contraindrais mais ... chance ! sa fièvre était tombée, ouf***..] Un plaisir réciproque. Quel bébé n'a pas caressé les seins de sa mère au moment où il tétait et/ou appuyé de manière alternative pour accélérer ou susciter la venue du lait ? (Comme les chatons qui conservent ce mouvement ensuite et déchirent les coussins). Essayez de l'arracher au sein et vous verrez le résultat.

Qu'éprouve-t-il ? Mystère mais cela semble bien réciproquement un plaisir sexuel, alimentaire, tendresse, dévotion... tout mêlé. C'est de ce type de plaisir dont les pères sont frustrés.. et sans doute celui dont parlait Cohn Bendit. Cela n'a rien à voir avec la pédophilie (avec le viol d'enfants, les actes horribles, voir en fin d'article). Justement. Donc il ne faut pas associer pèle mêle les deux phénomènes. Mais d'abord, il ne faut pas cacher le premier, je parle du plaisir sexuel au cours de l'allaitement. Cela brouille les pistes et paradoxalement peut fait le jeu des pédophiles. Bon, c'est dit ! J'ai eu du mal mais je l'ai fait. Merci. Maintenant, j'attends le lynchage.
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Il est venu mais soft, et bizarrement de la part de certaines -en fait très peu- qui se sont montrée/s indignée/s, déniant (cela je ne l'attendais pas, du moins pas aussi fortement) tout plaisir (et a fortiori plaisir sexuel) lors de l'allaitement et me reprochant, peut-être à juste titre, en partie, de faire de mon cas un cas général et de parler au nom du bébé. (Mais j'ai allaité très longtemps et un peu participé à des associations de ferventes du truc donc je me sens à l'aise, relativement, sur la question.) Il est vrai que nous sommes différentes et pas égales devant le physiologique, ni du reste le métaphysique... et que certaines ont pu percevoir l'allaitement comme galère surtout la première fois, et si elles ont eu des problèmes de divers ordres -crevasses, trop peu de lait etc..- et je souscris en partie aux reproches qui m'ont été faits : j'ai eu de la chance sur ce coup en effet. Mais il me semble indéniable que j'ai ici soulevé une question dérangeante qui révulse certaines qui ne veulent pas pointer, j'allais écrire avouer, ce plaisir...  évoquant en effet inceste et pédophilie bien que cela ce soit tout à fait d'un autre ordre. Et par ailleurs, la notion de plaisir (en le cas pendant l'allaitement) va à contre courant de l'idéologie dominante doloriste : "maternité et la suite = douleur = don de soi = abnégation = instinct maternel = femmes admirables etc.. On casse un peu la baraque si on observe qu'allaiter est jouissif. Par ailleurs, le fil, qui a dérivé sur l'accouchement, la douleur, la maternité des Lilas -alternative- la parole des femmes -accordée ou non par les médecins- et les dérives d'institutions libertaires ayant choisi de méconnaître les risques -vitaux!- encourus par les parturientes en l'absence de médecin, au nom d'une idéologie (à laquelle je souscris mais en partie seulement) : nature, pas d'ingérence du corps médical au nom du respect des femmes (!) etc... idéologie qui poussée à l'extrême a parfois occasionné des drames -mort de femmes et de bébés-... ce fil donc est si riche que je ne puis le retranscrire et j'y renvoie simplement par un lien.
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*Liste non exhausitive des personnalités pédophiles qui associe deux phénomènes à mon sens fort différents.  http://fr.sott.net/article/8084-Elites-pedophiles-liste-non-exhaustive
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** Voir à titre d'exemple les propos de Gabriel Matzeff, un florilège absolument ... je n'ai pas de mots, vomitif est trop faible (sur wikipédia!)  http://pagetournee.blogspot.com/2015/07/httppagetournee.html

*** Ce dégoût ressemblait peut-être à ce qu'on doit éprouver si on se contraint à une intimité, voire à coucher avec quelqu'un qu'on ne désire pas, même s'il/elle ne nous dégoûte pas normalement : allaiter est bien un acte sexuel, incluant le plaisir sélectif de deux êtres -qui si on déplace l'un des protagonistes devient dégoût- et réciproque. (En fait, un bébé, lui, téterait n'importe qui voire n'importe quoi avec plaisir, mais l'inverse n'est pas vrai.)
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Dossier

mercredi 29 juillet 2015

Pédophilie et société, liste non exhaustive des sommités pédophiles

http://fr.sott.net/article/8084-Elites-pedophiles-liste-non-exhaustive

Dossier

Circulaire à des "fervents"; Deviens ce que tu n'es pas.

Oyez, mes amies ! Je suis en train de composer une sorte de "circulaire" de rupture et/ou de "mise à distance de sécurité" (comme dans les banques) pour quelques "fervents" ou simples potes, m'étant aperçue [un peu tard !] que tous mes propos à leur encontre avaient trait à exactement la même chose, déclinée sur des modes et des points d'application différents avec une constante de base, leur exigence que l'on pourrait résumer ainsi : deviens ce que tu... n'es pas (!) sinon je ne pourrai plus te mettre, remettre sur "pied" (destale qu'ils disent)... sous entendu "tu retourneras à ramper dans la boue comme c'est ta nature". Qu'ils soient riches et beaux ou vieux et moches, athlètes ou bedonnant, intello ou analphabètes avec toutes les combinaisons possibles, c'est la même partition sur des questions différentes. Une circulaire, oui, cela économise du texte, du temps, du papier, éclaire et surtout peut servir à toutes. Au fond, n'est-ce pas cela, la philosophie, passer du singulier à l'universel ?
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Premier exemplaire

Lettre ouverte à un "fervent" (poète genre Gainsbourg) adressée à un autre, (establishment et militaire, pas le même profil !)

Je t'envoie une lettre à un autre de mes "fervents", fort différent de toi mais qui te va comme un gant. 

"Marco,
Lorsque vous semblez "apprécier" quelqu'un, (une femme surtout), vous vous comportez ensuite envers celle-ci de manière déplaisante (provocations, insultes etc..) comme si vous détestiez votre propre appréciation, surtout si vous supposez que d'autres l'apprécient aussi. Parce que vous ne vous appréciez peut-être pas vous-même : si vous vous sentez apprécié, même si vous l'avez cherché, vous mésestimez (ou faites semblant) le poisson/e qui s'est laissé/e "prendre" à vos filets. (En revanche avec les mecs, vous ne bronchez pas). Une tendance misogyne puérile banale exacerbée chez vous par l'alcool. Souvent, les hommes détestent apprécier les femmes, bien que ce soit le cas malgré eux.. et qu'ils fassent tout pour que ce soit réciproque, (poèmes etc) car ils pensent que cela les diminue et ils leur font payer... une appréciation que la plupart du temps elles n'ont pas sollicitée. Soit univoque soit, et c'est encore pire, réciproque. Chiant.

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Réponse du non-poète bourge: 
"Analyse très pertinente. Il ne s'agit pas je crois de mysoginie (ndlr, je laisse l'orthographe) mais de faire descendre l'être aimé de son piédestal érigé selon la "cristallisation" stendhalienne qui consiste à transcender les défauts en qualité de façon souvent abusive... Et cela non pas pour rabaisser mais pour ramener à un niveau d'échanges possibles dans un esprit de respect et de considération mutuels. Pardon pour mon vocabulaire quelque peu déficient en matière philo." [Ton verbeux et vide de maître d'école, inadapté.]  
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Ma réponse. Femmes sur pied et femmes rampantes

"Aimer ou apprécier pour toi serait donc mettre sur piédestal, (je dirais plus simplement sur PIED tout court), curieuse formule, significative de ce que pour les hommes, une femme qui est juste ESTIMÉE est forcément mise sur PIED (sous entendu qu'avant, elle crapahutait dans la vase, comme toutes, de "nature".) 


Nous n'avons mérité "ni cet excès d'honneur ni cette indignité", j'oserais même dire qu'une telle assertion est spécieuse. Elle signifie "je t'avais mise sur pied.. et à présent (que que tu oses te lever contre moi, par exemple me contrer hard sur le révisionnisme*) tant pis pour toi, je te remets à terre -ta place d'origine-.... ou alors "deviens -ou redeviens-... ce que tu (n') es (pas)" (!) c'est à dire.. (au hasard) : écoute moi ratiociner sur le nombre exact de juifs morts sous Pétain, j'ai bien dit EXACT, comme historien, je ne me satisfais pas d'approximations.. ou autre exigences tout aussi spécieuses etc.. C'est la version méliorative du célèbre :  "Maintenant, on vous tolère" [parce que vous venez de pondre un mâle -sans le faire exprès-]. Une "élévation" (!) conditionnelle et impermanente.. qu'il faut mériter.  


Mais sur pied, nous y sommes déjà, mes choux. Nul besoin qu'on nous y "mette", enlève ou remette (et surtout à ce prix.)


Seconde mouture, à un troisième

Aimer est-ce télécommander,

Une télé allumée que l’on éteint à volonté,
Se fuir mais surtout seul demeurer.
Ne chercher qu’un support,
Même pas, un simple morceau de bois,
Planté et attaché, juste pour la fragile tige
Et qu’on enlève lorsqu’elle a pris sa levée,
Renforcée?
Mais il arrive que le support bourgeonne
Avec elle arrosé, et que des deux arbres
L’un doive être ôté. 
Non ?
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*Le dossier http://pagetournee.blogspot.com/2015/07/lettres-ouvertes-un-notable-de-province.html




mardi 28 juillet 2015

Pédophilie et milieu pédophilogène

Une jeune fille (une petite fille) de 14 ans mannequin vedette de Dior. Dans la très grande pauvreté, elle s'en réjouit évidemment. N'empêche : ça fait tout de même penser. Un fil sur FB initié par Patrick.
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PEDOPHILIE - DIOR COMPLICE
Une israélienne de 14 ans va devenir la "nouvelle égérie" de Dior -
On a voté une loi contre la sexualisation des petites filles notamment dans les concours de mini-miss.
Dior va utiliser une jeune fille de 14 ans comme mannequin, modèle de femme aux yeux du monde entier.
Comment ne pas imaginer que ça ne va pas produire un effet dans l'esprit de bien des hommes dans la confusion des désirs entre enfants et adultes.
Et c'est aussi entraîner les jeunes filles du même age à se sexualiser davantage pour ressembler à ce modèle si brillant - et la boucle est bouclée.
Petit compte rendu de la discussion qui suit pour celles et ceux qui découvriraient ce post apres 16h55 ce mardi.
Il semblerait que j'ai tout faux - Cette jeune fille a été sauvée de la pauvreté par Dior - Il n'y a rien à y redire - Le mot pédophilie est impropre - Je suis un puritain -
J'ai repris la définition du petit Robert pour "pédophile"
1) Qui ressent une attraction sexuelle pour les enfants
2) Qui recherche et pratique des relations sexuelles avec des enfants
"si je suis désavoué par une majorité d'entre vous, et malgré l'armée de celles et ceux qui me soutiennent, ma tache deviendra évidemment impossible et je cesserai immédiatement d'exercer mes fonctions.. " (Patrick)
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H : Oui c'est malsain, Patrick, à double titre : 1 : d'abord parce que cela sexualise une ENFANT, je dis bien une ENFANT (même si l'argent lui apparaît comme une manne providentielle) c'est à dire lui "vole" son enfance [on va lui apprendre à rouler des hanches, à regarder en biais (si, si, ne faites pas les étonnés) à bomber les seins (petits, sans doute pas assez formés mais justement c'est ce qui plaît) et à tanguer des épaules etc... tous les gestes de la provocation sexuelle soft... ou moins soft. Et qui dit provoc dit forcément réponse, céétudiépour, donc... voyez la suite..] On va la transformer trop rapidement en femme dans le regard des hommes et la livrer de facto à leur désir (soft certes... mais désir tout de même.) Et 2 parce que cela donne des femmes (de LA femme comme ils disent) l'image... d'une enfant, une association contre laquelle nous luttons sans cesse et sans cesse. Non pas idiote, mais un peu débile, naïve, petite chose à protéger (et par la même occasion à exploiter puis à jeter..) MERDE. Voilà que ça donne plus tard.

http://pagetournee.blogspot.com/.../les-hommes-et-lzamour...Ont-ils si peur des femmes qu'ils s'en tiennent à ce que j'appelle de la pédophilie vocative c'est à dire à un être qui a l'allure d'une femme (ouahhhh!!) mais l'esprit d'une enfant (pas de danger qu'elle vous contredise ou s'émancipe). Je crois que c'est la base de la pédophilie tropisme -féminine (fort différent de la pédophilie tropisme masculine.) Ces gens sont des êtres normaux mais terrorisé par les femmes. J'appellerai cela une PÉDOPHILIE DE CONFORT.


Ce que je veux dire, Marie Camille, c'est que la "pédophilie" (terme qui est reproché à Patrick) se décline aussi (pas seulement certes) comme la résolution du problème majeur des mecs dans les sociétés machistes cad à peu près toutes, de l'altérité des femmes. Ils se créent, fantasment UNE FEMME qui cependant n'en est pas une mentalement, voilà pourquoi je souscris à la critique de Patrick, plus grave encore que le simple saccage de l'enfance d'une gamine (qui est ravie, ne l'oublions pas) mais l'entérination de cette manip mortifère que toutes nous subissons.. Maison de poupée en somme..


P : Je n'ai pas dit que c'était de la pédophilie - j'ai dit que c'était être complice des pédophiles en faisant une femme d'une enfant et en permettant la confusion entre les deux


S : Que vaut mieux -t-il faire : ne jamais réaliser un rêve pour qu'il pourrisse sa vie ou réaliser un rêve pour pouvoir changer sa vie ? Présumer à priori que cette fille deviendra une bécasse est ne pas considérer son potentiel humain et nombre de mannequins vedettes jeunes ont déjà montrées qu'elles avaient une tête bien faite. Alors faites là retourner dans son gourbi où sans défense elle sera bien la cible de quelques charognards qui s'occuperont de la détruire afin de contenter un esprit plus étroit que ceux qui l'en sortent.

H : C'est vrai, mais la démesure entre son salaire et par exemple celui de ses profs peut la conduire à ne pas forcer sur les études, voire à les mépriser un peu, et finalement à s'émerveiller naïvement de l'admiration que son CORPS suscite sans autre effort (enfin je simplifie car il lui sera demandé exigé de ne pas grossir, de ne pas être enceinte, de etc..) Il est vrai qu'il y a des exemples contraires de femmes qui ont su s'en sortir justement en utilisant leur allure et en en faisant autre chose après ou en même temps, mais le cas est rare.


P : Imaginons un garçon de 15 ans - mannequin vedette - dans tous les journaux de la planète comme idéal masculin - et entendre des femmes de 18 à 80 ans ou plus dire je me le mettrai bien dans mon lit - Et dans le meme temps des jeunes gens prendre modéle sur lui et les regarder essayer de séduire des femmes pouvant etre leur mére ou leur grand mére -

H : Exactement ! Imaginons des femmes âgées même bien conservées dire cela? Impossible, scandaleux. Et ça le serait. Comme pour les mecs, mais eux ça passe !

S : Ah bon, la majorité de ceux qui regarde une photo de pub pensent à mettre le mannequin dans son lit ?

H : Je crois, pour les mecs en tout cas, Joël. Les femmes, elles, ont une sexualité plus complexe et plus sophistiquée, si si si.. j'en suis une.

S : Je n'ai jamais craqué sur une photo de pub. Je commence à m'inquiéter de ma misérable condition. Est-ce grave ?

B : Il n'y a pas que Dior et cette jeune fille. Tous les mannequins commencent très jeunes et dépassent le mètre quatre-vingt. Aucun intérêt pour un pédophile. Ensuite ces gars-là, comme les violeurs, s'adressent, non pas à la plus belle personne mais à la plus faible. Et c'est souvent dans le cadre familial que ça se passe.

M : le problème c'est que certaines personnes ont si bien intégré les injonctions de la pub et du libéralisme en général que leur esprit critique est grippé! Je ne dirais pas que tout le monde veut mettre un enfant de quinze ans dans son lit, mais que la confusion entre une femme et un enfant est entretenue!

H : J'ai autrefois fait passer une annonce pour un casting pour un film (Le puis de Célas) et vu débarquer chez moi en série des "top" de 1,80 m et 53-56 kg (alors que j'avais demandé une femme de 1,60 m et 60 kgs grosso modo, censée jouer le rôle de Lydie) dont certaines m'ont dit qu'elle allaient être obligées de maigrir (!!) pour une pub ou un défilé (!!) Et zou sauna, zou machine à ramer, zou re sauna etc... je dis bien plusieurs fois, à [...] bref un club de "sport" très couru, et au dernier étage (c'est à dire à 90-100°) plus d'une demi heure, (on recommande de ne jamais dépasser 5 minutes)... ajouté à cela quelques diurétique pour éliminer et "CA Y EST !! J'Y SUIS !!" Les jolies filles des magazines, c'est cela aussi. Un corps détraqué à la demande. L'une d'elles qui avait apprécié le scénar (?) m'a proposé de prendre 10 kg si je voulais !! Qu'à cela ne tienne, elle les reperdrait ensuite.

G : Je n'ai pas de point de vue tranché.... Je crois qu'il n'y a pas un seul point de vue sensé concernant ce genre d'actu. On est obligé de reconnaître que cette jeune fille est absolument sublime et portera très bien l'image de la maison Dior.


M : Avec ce genre de raisonnement on ne fait pas non plus le lien entre la pornographie et une société pornographique, on ne fait pas le lien non plus entre des images violentes et leur impact, bref on ne fait le lien entre rien et on survit dans l'angélisme! Si si ça ne sert à rien d'utiliser de très jeunes filles, ça n'a aucun sens, c'est du hasard pur!

H : Un fait me frappe et m'agace (et sans doute toutes!) : les expressions (banales mais popularisées par les films américains), des hommes envers les femmes (qu'ils désirent, qu'ils draguent) ou leurs compagnes : "Baby".. "Minouche" .. "Bébé".. "Miss".. "Cocotte".. etc.. Ca peut être marrant. Ainsi je vois au même moment un gus, appelons le Popaul, fragile, chétif, à se briser comme du verre qui s'adresse à une jeune femme (belle mais genre "mec", cheveux courts, sportive, -boxeuse- etc..) en l'appelant "Minouche".. Ca lui va comme des lunettes à un canard, mais c'est bien le principe ! Dommage que je ne puisse faire une photo, ce serait à pisser de rire.


Par ailleurs, s'il y a des pédophiles, il y a aussi un univers, un umwelt "pédophiligène" ; la pédophilie (surtout lorsqu'elle est très peu sanctionnée, ce qui est le cas souvent) ne survient pas d'un chapeau. Le contexte, justement, son nid est l'hyper sexualisation des gamines : les mini miss qui dansent comme des femmes, les modèles pour les produits de beauté censés vous donner une peau de velours (ou vous rajeunir !!) qui ont entre 13 et 15 ans, (il paraît qu'après la peau n'est plus assez fine et lumineuse) et plus dramatique encore, les mutilations sexuelles qui tendent à transformer les femmes en enfants (excision, infibulation -qui figurent un sexe pré pubère- bandage des pieds autrefois des chinoises -qui demeurent des pieds d'enfants- etc..)


P : C''est pourquoi j'ai fait le lien avec les mini miss dans mon post initial - mais plus personne ne regarde la base de la question - sourire -


K : Patrick ta cause est noble. ...et je te comprends ...mais là je me demande si tu n exagères pas un peu. Dior n est pas le seul ... une image de très jeune fille on en trouve hélas ....un peu partout pas que chez Dior ...
dans le cas particulier à 18 ans cette jeune fille ça se retrouver en uniforme pour servir dans tsahal. ...service militaire obligatoire 2 ans en Israël. Autre fantasmé l'uniforme.....mais svp pas de autres délires. tsahal c'est dur ... un vrai boulot avec une discipline et formation morale ..

H : Que Dior ne soit pas le seul est justement là le problème !

B : .Je ne sais pas, mais soulever le problème de l'extrême jeunesse des modèles, oui.
Je trouve juste que mettre Dior en parallèle avec les mini miss est un peu dur pour eux.
Ils font des collections bébé et enfant avec des robes petites filles, qui sont quand même très très éloignées de l'attirail des mini miss....

P : que Dior ne soit pas seul ne l'exonére de rien - ensuite je ne parle pas du sort de la jeune fille elle meme - mais de ce que signifie pour la société l'utilisation de tres jeune filles - relire mon post initial -

H : Cet umwelt "pédophilogène" est QUOTIDIEN : un gus (mettons un caïd d'arrondissement) 45 ans ? qui louche ostensiblement la bave aux lèvres sur une gamine de 14 (certes un peu provoc mais elle ne s'en rend sans doute pas compte) devant le père ("employé" du premier) et qui lui demande carrément : "Mais c'est devenu une femme maintenant.. quel âge elle a-t-elle au fait à présent? 15 ans?" .. "Pas tout à fait, dans six mois.." (Tu devras encore attendre encore un peu coco).. et personne ne bronche, personne ne semble choqué, et lui dire "pourquoi, ça t'intéresse?" le père semble même flatté de l'intérêt que suscite sa gamine, un si "important" personnage (!) ce n'est pas à négliger n'est-ce pas?

Il y a des moments où on se demande si certains parents eux mêmes, consciemment ou non, n'utilisent pas leurs enfants sans carrément les livrer, mais par leur silence qui semble bienveillant.. et tolérant.

M : Oui j'ai déjà vu aussi! J'ai une fille de quinze ans du reste !

H : Exactement Marianne !!! Ca me rappelle soudain une affaire horrible, mon ex (pas trop "fini" sur ce genre de truc, je simplifie) était à un séminaire de cadre aux USA avec notre fille (13 ? ans) et au téléphone me chantait les louanges d'un ami qu'ils s'étaient fait, un indien résidant aux USA, très sympa, cadre comme lui aux [...], ils le voyaient tout le temps, il leur faisait visiter etc... et il adorait [Nadia] à qui il trouvait beaucoup de talent pour la photo etc... Cela ne m'a pas plu, je le lui ai dit sec, il s'est moqué de moi, voyons, un type si bien, tu es un peu tordue tout de même !!! = > le fait est que peu de temps après nous (enfin, je) reçus une curieuse lettre, obséquieuse, admirative en effet vis à vis de [Nadia] qu'il souhaitait tant revoir etc... etc... je résume, c'étaient les prémices d'une demande en mariage (?) sous jacente. (!!!) Elle avait 13 ou 14 ans, le gugus ? 40 ? 45 ?

N : Si les parents donnent le feu vert pour que leurs enfants fassent de la pub ou servent de modèles, on ne peut rien dire et je suppose qu'il y a des lois

H : Si, on n'a pas le droit de "vendre" ou disons de laisser utiliser son enfant en quelque sorte, nul n'appartient à quiconque. Et lorsqu'on dit que cela se passe partout, sous entendu c'est normal et à gérer, voici l'histoire de Nathalie Wood à qui sa mère ordonnait d'aller s'asseoir sur les genoux du "monsieur" et de lui faire un bisou (ou de pleurer).  http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/nathalie-wood-les-dessous-de-hollywood.html

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Liste non exhaustive des personnalités pédophiles http://fr.sott.net/article/8084-Elites-pedophiles-liste-non-exhaustive
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Dossier

lundi 27 juillet 2015

Voile torture; le voile tue




37 degrés à l'ombre à peu près, au soleil 40 ou plus...
Une jeune femme corpulente, voilée de noir épais, y compris sur le front, (un autre voile blanc rajouté!) les bras chargés de sacs, trois enfants devant elle en file (le trottoir est très étroit). Elle revient visiblement de faire les commissions au petit supermarché (à environ 1 km de l'endroit où je me trouve mais j'ignore d'où elle vient et jusqu'où elle va) par parenthèses, un chemin sans arbres donc en pleine cagne...
L'image d'après montre comment à peu près sont vêtus les gens aux terrasses. Certains hommes sont en "marcel" voire torse nu.

Imaginons donc : aller, transpirant à fond sous ce, ces sacs, la vision obérée par le voile, pour traverser avec les gamins.. enfin, le supermarché climatisé, ouf !! elle sèche et du coup ça doit coller la dessous voire sentir la sueur (forcément!)... le pire étant le retour (j'ai moi même fait le trajet juste avant et, même vêtue comme sur l'image, je COULAIS littéralement, alors dans ce sac !) retour donc dégoulinante, épuisée, sans doute obligatoirement malodorante etc.. Comment appeler cela si ce n'est une torture? Espérons qu'elle a chez elle de quoi prendre une douche (pas sûr!) et laver son torchon mouillé qui obligatoirement doit puer. Gaspillage d'eau, aussi.




Note : au cours d'un pèlerinage très couru, un petit pont a cédé sous la pression ; parmi les victimes (assommées ou noyées), une majorité de femmes et d'enfants. La cause ? incapables de se mouvoir rapidement et de fuir comme les mecs, projetées par la foule... c'est à dire par ceux-ci (!) [tiens donc, le voile, c'est pour l'honneur, mais quand le sol cède bêtement, c'est sauve qui peut, dégage la grosse, à coups de pieds s'il faut]... bref, le lourd tissus solidement arrimé par moultes épingles impossible à enlever rapidement a fait le reste : gorgé d'eau, il les a coulées vers le fond (à supposer qu'elles aient su nager) elles et leurs gamins avec => Le voile TUE.

dimanche 26 juillet 2015

Les hommes et l'zamour.. euh, l'anour, euh, l'amour zut alors

Est-ce que je n'ai pas de pot, ou est-ce tout le monde? SOS les copines, dites moi. Une vraie question. Voici des "lettres ouvertes" à certains de mes "fervents", significatives de ce que je rencontre TOUT LE TEMPS. Un "ton", une posture inadéquate qu'ils ont envers nous, comme si j'étais, si nous étions une gourde ou des enfants. Une sorte de pédophilie controuvée. Cela explique le succès des femmes très jeunes ou en ayant l'air. Une femme d'allure mais avec un esprit d'enfant (qui ne risquera pas de les contredire) : le pied ! Ils ont peur des femmes en réalité.

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Daniel, je t’envoie le double un peu remanié d’une lettre à un "fervent" (un poète de talent mais genre Gainsbourg) … qui te va également comme un gant…
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"Lorsque vous semblez 'apprécier' quelqu'un, (surtout une femme), et qu'elle en semble touchée, ensuite vous vous comportez envers elle de manière un peu déplaisante (provocations etc..) comme si vous N'AIMIEZ PAS AIMER et lui en faisiez grief, (surtout si vous supposez que d'autres l'apprécient aussi). Peut être parce que vous ne vous appréciez pas vous-même et si, vous vous sentez apprécié, même si vous avez tout fait pour (vos poèmes par exemple), vous mésestimez (ou vous faites semblant) celle qui vous estime.. (puisque vous pensez ne pas le mériter) ? En revanche avec les hommes, vous ne bronchez pas. C'est une tendance misogyne puérile banale exacerbée chez vous par.. (vous savez quoi) : souvent, les hommes détestent apprécier (ou aimer) les femmes, bien que, malgré eux ce soit le cas, (ne serait ce, pour les plus primaires, que pour le sexe) et qu'ils tentent de faire que ce soit réciproque, car ils pensent que cela les diminue, (que cela les met sous leur coupe) et du coup ils les rabaissent, leur faisant payer... une appréciation QUE PARFOIS ELLES N'ONT NULLEMENT SOLLICITÉE ! Soit univoque soit, et c'est encore pire, réciproque. C'est chiant. Merci d'en tenir compte."
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Ainsi qu'une autre, qui aussi te correspond relativement..

"Nathan,

Aimer est-ce télécommander,
Une télé allumée que l’on éteint à volonté,
Se fuir mais surtout seul demeurer.

Ne chercher qu’un support,
Même pas, un simple morceau de bois,
Planté et attaché, là juste pour la tige
Et qu’on enlève lorsqu’elle a pris sa levée.
Mais il arrive que le support bourgeonne
Arrosé avec elle, et que des deux arbres
L’un doive être ôté. 
Non ?"

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Milo, (lettre originelle)..

"Lorsque vous semblez "apprécier" quelqu'un, (une femme), vous vous comportez ensuite envers elle de manière déplaisante (provocations, insultes etc..) comme si vous détestiez votre propre appréciation, surtout si vous supposez que d'autres l'apprécient aussi. Parce que vous ne vous appréciez peut-être pas vous-même : si vous vous sentez apprécié, même si vous l'avez cherché, vous mésestimez ou vous faites semblant. (En revanche avec les mecs, vous ne bronchez pas). Une tendance misogyne puérile banale exacerbée chez vous par.. on sait quoi. Souvent, les hommes détestent apprécier les femmes, bien que ce soit le cas malgré eux.. et qu'ils fassent tout pour que ce soit réciproque, (poèmes etc) car ils pensent que cela les diminue, et ils leur font payer... une appréciation qu'elles n'ont pas sollicitée. Soit univoque soit, et c'est encore pire, réciproque. Chiant." 

___________________________

Nathan, (encore) 

Tu as voulu vivre à Paris,
J'ai vécu à Paris ;
Je pleurais en quittant d'ici,
Marguerite est morte loin de moi ;
Tu as voulu la rue Benard,
Moi la rue Liancourt,
On a vécu rue Benard ;
Tu m'avais dit trois mois,
Ce fut trente ans ;
Tu as voulu le Serre,
Moi, la petite maison d'Uzès, 
On a acheté le Serre...
Etc etc etc..
Et la seule fois où je m'oppose,
Moi "qui ne compte pas",
Tu me dis que j'ai tout détruit,
Et que tu ne peux plus m'aimer.
_____________________________

Que dire, que penser 
des contre- vérités ?
Un exercice littéraire ?
Un jeu de mots amusant ? 
Un mépris cynique?
Une perversité arrogante ?
Une mythomanie curieuse ?
Certainement pas de l'amour !
_____________________________

"Ah ! je me suis donc trompée !
On n'a pas vécu à Paris,
On n'a pas acheté le Serre,
Marguerite est morte dans mes bras..
Etc.. Merci de rétablir la réalité
Des fois j'ai tendance à me tromper..
Au fait, rappelle le moi, j'ai oublié
 La terre est ronde ou carrée? 
Tout petit cerveau j'ai, un vrai pois chiche
Mais heureusement tu es là. 

Pour me montrer le vrai."

samedi 25 juillet 2015

Economiser l'eau !!! Paillage

On est en période de stress hydrique comme on dit ! pompages, bétonnage, évacuations directes parfois... et le résultat le voici : la Cèze presqu'à sec par endroits... et l'eau croupie, nauséabonde.. et une chaleur d'enfer. Un moyen d'économiser l'eau : pailler. Cela ne prend qu'une heure de travail (après élagage d'une haie) et cela maintient l'eau au pied du tronc d'un vieux tilleul qui souffre, comme tous..






Qu'appelle-t-on aimer? (2)

Aimer est-ce télécommander,
Une télé allumée que l’on éteint à volonté,
Se fuir mais surtout seul demeurer.

Ne chercher qu’un support,
Même pas, un simple morceau de bois,
Planté et attaché, là juste pour la tige
Et qu’on enlève lorsqu’elle a pris sa levée.
Mais il arrive que le support bourgeonne
Arrosé avec elle, et que des deux arbres
L’un doive être ôté. 
Non ?

Qu'appelle-t-on aimer?

Robert, mon amour,

Tu as voulu vivre à Paris,
J'ai vécu à Paris ;
Je pleurais en quittant d'ici ;
Tu m'avais dit "trois mois",
Ce fut trente ans ;
 Et Marguerite est morte loin de moi ;
Tu as voulu la rue Benard,
Moi la rue Liancourt ;
On a vécu rue Benard
Trois mois, ce fut trois ans ;
Tu as voulu le Serre,
Moi, la petite maison d'Uzès, 
On a acheté le Serre...
Etc etc etc..

Puis j’ai changé, appris le "non",
Et tu me dis que j'ai tout détruit,
Et que tu ne peux plus m'aimer.



Qu'appelle-t-on aimer? 

Aimer pour toi, c’est télécommander,
Une télé allumée que l’on éteint à volonté,
C’est te fuir mais surtout seul demeurer.

Tu ne cherches qu’un support,
Même pas, un simple morceau de bois,
Planté et attaché, là juste pour la tige
Et qu’on enlève lorsqu’elle a pris sa levée.
Mais il arrive que le support bourgeonne
Arrosé avec elle, et que des deux arbres

L’un doive être ôté. 

vendredi 24 juillet 2015

Tu as voulu vivre à Paris..



Tu as voulu vivre à Paris,

J'ai vécu à Paris ;
Je pleurais en quittant d'ici, 

Marguerite est morte loin de moi ;

Tu as voulu la rue Benard,
Moi la rue Liancourt,
On a vécu rue Benard ;
Tu m'avais dit trois mois,
Ce fut trente ans ;
Tu as voulu le Serre,
Moi, la petite maison d'Uzès, 
On a acheté le Serre...
Etc etc etc..

Et la seule fois où je m'oppose à un dictâ*t,
Tu me dis que j'ai tout détruit,
Et que tu ne peux plus m'aimer.

(* Abattre deux cerisiers.)

Lettre ouverte à un poète, le sexisme mordinaire... ordinaire !

A Marco,
Lorsque vous semblez "apprécier" quelqu'un, (une femme surtout), vous vous comportez ensuite envers elle de manière déplaisante (provocations, insultes etc..) comme si vous détestiez votre propre appréciation, surtout si vous supposez que d'autres l'apprécient aussi. Parce que vous ne vous appréciez peut-être pas vous-même : si vous vous sentez apprécié, même si vous l'avez cherché, vous mésestimez ou vous faites semblant celui ou celle qui s'est laissé "prendre" à votre manège. (En revanche avec les mecs, vous ne bronchez pas). Une tendance misogyne puérile banale exacerbée chez vous par.. on sait quoi. Souvent, les hommes détestent apprécier les femmes, bien que ce soit le cas malgré eux.. et qu'ils fassent tout pour que ce soit réciproque, (poèmes etc) car ils pensent que cela les diminue et ils leur font payer... une appréciation qu'elles n'ont pas sollicitée. Soit univoque soit, et c'est encore pire, réciproque. Chiant.

jeudi 23 juillet 2015

Tu es poussière et redeviendras poussière

Ou "tu es balayure et comme telle sera irrémédiablement balayée". En somme...

Mais j'y songe : n'est-ce pas la bonne définition de l'amour masculin?
Voir le mythe d'Anne Boleyn http://pagetournee.blogspot.fr/2015/07/h-maimes-tuencore-un-peu-je-sais-bien.html

[Faut que ça roule (d'une manière ou d'une autre) sinon "out"?] Ça tourne. Un romantisme hors de propos et... un pragmatisme bien à propos. "Un seul être vous manque et tout est dépeuplé" serait l'exergue de l'amour féminin. "Une sciatique vous cloue et tout est dépeuplé" celle de l'amour masculin. Il parait que ce sont les statistiques. Bien.