La question de la prostitution, et des liens entre les indics (que sont souvent les
prostituées et les macs) et les "cousins" : une sauce qui peut vite tourner.. en décomposition.
Le problème des policiers et des gendarmes (soit dit sans aucune mésestime) est qu'ils ont besoin d'avoir recours à des indics.. choisis souvent parmi des délinquants auxquels ils concèdent des "avantages", forcément, sinon ils ne les serviraient pas.. délinquants qui vont parfois leur "donner" simplement des rivaux ou des gus bien moins importants qu'eux quant aux délits voire crimes (!) et du coup s'en trouver (parfois) blanchis... quand des lampistes payeront cher un vol de figues. Un cercle pervers, les indics pouvant parfaitement manipuler les flics autant ou plus que l'inverse. Affichant leur impunité, ils vont alors s'autoriser des délits de plus ne plus hards... jusqu'au moment où ça casse tout de même mais c'est toujours "ça de gagné" (en argent par exemple, or plus ils seront prospères et plus ils seront difficiles à faire condamner). Et de fait, ils vont effrayer, jouer le rôle de caïds à la fois pour les autres (les "petits")... et pour les victimes potentielles, les gens hors système, le quidam de base en somme. Inévitable ? Je ne sais pas, mais le jeu est difficile, dangereux et aboutit souvent à ce que les victimes semblent dépendantes :
1 à la fois des policiers [qui par exemple vont ou ne vont pas enregistrer une plainte, selon qu'elle concerne un de leurs "cousins" et la valeur de celui-ci (car il en va des indics comme de tout travailleur, certains sont plus efficaces que d'autres)...
2 et des agresseurs qui avec les quidam/es jouent la carte de "je ne risque rien, moi" (!) et avec leurs "cousins", de leur utilité -ils ont "donné" tel ou tel, ce qui les a peut-être fait féliciter- ; de fait, ils s'en tirent parfois avec une claque sur les doigts (ou rien, affaire classée) y compris en cas d'agression grave, ce que nul n'ignore (pas de preuves, preuves non recevables, délit prescrit..) et ils font en sorte que toute publicité soit faite de cette exceptionnelle longanimité qui renforce la peur qu'ils inspirent. Inutile de dire que ce sont les femmes, les "faibles" en général, (ceux qui n'ont rien à offrir en échange de leur protection) qui souvent font en premier les frais de ce système pervers, les prostituées notamment -qui elles aussi jouent souvent le rôle d'indic pour le compte de leur mac, lequel vend ensuite ses infos à son "cousin" (ou directement dans le meilleur des cas)... Lorsque les indics sont peu ou prou macs, (c'est le cas la plupart du temps) on voit tout de suite le prestige que peuvent revêtir de telles relations. Les femmes (pas nécessairement prostituées) battues, méprisées de toutes manières, ou traitées comme du bétail, se tairont. Et celles qui oseront se lever risqueront gros.. avec à la clef l'impunité totale ou relative (lorsqu'il s'agit d'une out sider, d'une non prostituée par exemple voire d'une bourgeoise) de l'agresseur. Honni soit qui mal y pense.
Comme pour les médicaments, on devrait évaluer le rapport bénéfices/pertes d'un cousin. Serrer un voleur de figues grâce à un mac trafiquant de drogue qui va ensuite en profiter pour augmenter son chiffre d'affaire, (c'est à dire recruter une écurie plus nombreuse, des clients plus riches, violences à la clef..) cela vaut-il le coup? Cela explique que dans le milieu des délinquants, il y ait aussi une hiérarchie et des ambitions aussi féroces que dans celui des cadre sup et que petit voleur de parcmètres n'a qu'une idée, réussir, c'est à dire devenir comme le caïd qui parade devant lui en grosse bagnole et le rackette parfois sous menace de le dénoncer (!), quelque soit le prix à payer. Plus confortable !
Notons ici (voir lien*) qu'en certains cas, les "hors la loi" véritables se montrent très sourcilleux quant à celle-ci par rapport à leurs collègues moins prospères.. sans que personne ne bronche : ainsi un gus qui travaille au noir (un prétexte, en réalité, c'est une couverture et/ou source d'infos) va-t-il menacer un collègue dans la légalité sous un prétexte quelconque ou par simple intimidation, sans même qu'il n'y ait besoin de proférer des menaces, le forcer à arrêter un chantier..
* http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html
La tête dans le cul, comme on dit. N'oublions pas : le boulot est dur et il y a beaucoup de suicides parmi eux/elles...
http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/une-balle-perdue-en-tout-cas-pour-moi.html
Le dossier "la violence en herbe"
http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/dossier-la-violence-en-herbe.html
1 à la fois des policiers [qui par exemple vont ou ne vont pas enregistrer une plainte, selon qu'elle concerne un de leurs "cousins" et la valeur de celui-ci (car il en va des indics comme de tout travailleur, certains sont plus efficaces que d'autres)...
2 et des agresseurs qui avec les quidam/es jouent la carte de "je ne risque rien, moi" (!) et avec leurs "cousins", de leur utilité -ils ont "donné" tel ou tel, ce qui les a peut-être fait féliciter- ; de fait, ils s'en tirent parfois avec une claque sur les doigts (ou rien, affaire classée) y compris en cas d'agression grave, ce que nul n'ignore (pas de preuves, preuves non recevables, délit prescrit..) et ils font en sorte que toute publicité soit faite de cette exceptionnelle longanimité qui renforce la peur qu'ils inspirent. Inutile de dire que ce sont les femmes, les "faibles" en général, (ceux qui n'ont rien à offrir en échange de leur protection) qui souvent font en premier les frais de ce système pervers, les prostituées notamment -qui elles aussi jouent souvent le rôle d'indic pour le compte de leur mac, lequel vend ensuite ses infos à son "cousin" (ou directement dans le meilleur des cas)... Lorsque les indics sont peu ou prou macs, (c'est le cas la plupart du temps) on voit tout de suite le prestige que peuvent revêtir de telles relations. Les femmes (pas nécessairement prostituées) battues, méprisées de toutes manières, ou traitées comme du bétail, se tairont. Et celles qui oseront se lever risqueront gros.. avec à la clef l'impunité totale ou relative (lorsqu'il s'agit d'une out sider, d'une non prostituée par exemple voire d'une bourgeoise) de l'agresseur. Honni soit qui mal y pense.
Comme pour les médicaments, on devrait évaluer le rapport bénéfices/pertes d'un cousin. Serrer un voleur de figues grâce à un mac trafiquant de drogue qui va ensuite en profiter pour augmenter son chiffre d'affaire, (c'est à dire recruter une écurie plus nombreuse, des clients plus riches, violences à la clef..) cela vaut-il le coup? Cela explique que dans le milieu des délinquants, il y ait aussi une hiérarchie et des ambitions aussi féroces que dans celui des cadre sup et que petit voleur de parcmètres n'a qu'une idée, réussir, c'est à dire devenir comme le caïd qui parade devant lui en grosse bagnole et le rackette parfois sous menace de le dénoncer (!), quelque soit le prix à payer. Plus confortable !
Notons ici (voir lien*) qu'en certains cas, les "hors la loi" véritables se montrent très sourcilleux quant à celle-ci par rapport à leurs collègues moins prospères.. sans que personne ne bronche : ainsi un gus qui travaille au noir (un prétexte, en réalité, c'est une couverture et/ou source d'infos) va-t-il menacer un collègue dans la légalité sous un prétexte quelconque ou par simple intimidation, sans même qu'il n'y ait besoin de proférer des menaces, le forcer à arrêter un chantier..
* http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html
La tête dans le cul, comme on dit. N'oublions pas : le boulot est dur et il y a beaucoup de suicides parmi eux/elles...
http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/une-balle-perdue-en-tout-cas-pour-moi.html
Le dossier "la violence en herbe"
http://pagetournee.blogspot.com/2015/08/dossier-la-violence-en-herbe.html
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